XIXème siècle


            Les conflits scolaires à Vic d’Oust,
 le curé Itté contre la République
           

J’ai trouvé aux Archives Départementales dans la section 5V13 en recherchant des informations sur l’église et le conseil de fabrique de Vic d’Oust, une suite de 58 échanges de courriers entre l’instituteur, l’inspecteur primaire, l’inspecteur d’académie, les maires de Vic, de Soueix, de Rogalle, le conseiller général, le curé, l’évêque, le sous préfet de Saint Girons, le préfet et un courrier de Monsieur le Ministre de la justice et des cultes, Felix Martin-Feuillée en personne, signée de sa main, un vrai petit trésor sur un bout de l’histoire du village.
[1]Les conflits scolaires ont jalonné l’histoire du XIXème siècle, atteignant avec Jules Ferry une acuité particulière. En 1880 l’instruction morale et religieuse doit céder la place à l’instruction morale et civique pour laquelle sont élaborés de nouveaux manuels. La Congrégation de l’index condamne certains de ces ouvrages ; plusieurs évêques publient, dans leurs diocèses, la décision romaine et enjoignent à leur clergé de mettre les parents en garde contre les ‘’mauvaises écoles ‘’. Par la procédure de Recours pour abus le Conseil d’Etat est saisi et condamne les évêques, tandis que, dans chaque diocèse, les préfets tentent d’obtenir le silence des desservants paroissiaux pour assurer le succès de la politique scolaire républicaine.
            Pour cela des livres ont été édités, par la République, afin d’instruire les enfants : ‘’Eléments d’Instruction morale et civique’’, de Gabriel Compayré, ‘’L’instruction civique à l’école’’, de Paul Bert, Les deux livres cités dans certains courriers  de cette histoire.
           
J’ai, décidé de tout mettre toutes ces lettres dans l’ordre chronologique afin de voir ce qu’il c’est passé à Vic d’Oust entre 1883 et 1884.  Une difficulté c’est présentée certains courriers sont pas datés et d’autres sont des brouillons, carrément illisibles. Nous avons passé du temps, à déchiffrer certaines pièces. J’avais trouvé un petit trésor dans les Archives Départementales de l’Ariège, il fallait que je le fasse partager à ceux qui ont cette passion, qui s’intéressent à leur histoire !
Vu la truculence du contenu de certaines lettres, ainsi que l’emploi d’un langage parfois très ‘’ampoulé’’, j’avais recopié l’ensemble afin de les publier intégralement, mais une fois terminé, cela semble beaucoup trop long, je vais donc essayer de vous raconter cette histoire ! 
Le personnage central de cette ‘’Guerre Scolaire’’ Le curé, Girons Itté,  desservant de la paroisse de Vic d’Oust et de Rogalle, Un homme à forte personnalité, natif de Saint Lisier d’Ustou, où il repose, dans un tombeau complètement abandonné.
Le 11 février 1883 l’Inspecteur du primaire, adresse un rapport à l’inspecteur d’Académie, ce rapport émane  de l’instituteur de Vic, au sujet des livres, que l’on ne peut admettre dans les écoles : Les livres de ‘’Morale laïque ‘’ de  Gabriel Compayré et de Paul Bert ! Je n’ai pas retrouvé ce rapport, mais on en devine facilement le contenu, à la lecture de l’ensemble des échanges de courrier



A la suite de la condamnation de la République par le Vatican ‘’ Congrégation de l’Index’’, le curé Itté à prêché en chaire contre l’école de la Républicaine et ses manuels de morale. Il a menacé les paroissiens, qui enverraient leurs enfants à l’école, de refus de sacrements. Pas de communion solennelle. Le catéchisme pendant les heures de classe, afin de s’assurer, que les enfant n’aillent pas à l’école, les éloigner, autant que possible, de l’école et de ses livres de morale.


Ensuite, il a programmé les premières communions pour la Noël, du coup, les paroissiens n’envoient plus leurs enfants à l’école.
Il aurait lu la condamnation de la Congrégation de l’Index en chaire.
Tout ceci trouble la vie des habitants de Vic, qui sont, dans l’ensemble républicains et pratiquants.
Il a fait un discours tonitruant  au cours de la bénédiction d’une statue à Soueix,  dénoncé par lettre du Maire, Monsieur Souquet,  au Sous-Préfet de saint Girons.
Il y à un tel remue-ménage, la presse s’en fait l’échos, dans le journal l’AVENIR
des 18 février et [2]4 Mars 1883, que le Directeur Général des Cultes, s’en informe par lettre auprès du Préfet de l’Ariège :
Monsieur le Préfet, le journal l’avenir, dans ces N° des 18 février et 4 Mars, signale le desservant de Vic d’Oust, qui aurait interdit aux enfants la lecture de l’ouvrage de M. Compayré intitulé : Eléments d’éducation Civique et Morale.
            Je vous serai obligé, Monsieur le Préfet, de vouloir bien me transmettre  tous les renseignements que vous aurez pu recueillir sur cet ecclésiastique et en m’indiquant son nom de famille, me faire connaitre votre avis sur la suite dont cette information vous aura paru susceptible.
            Recevez, Monsieur le Préfet l’assurance de ma considération très distinguée
                                               Sous le Ministre
                                               Le Conseiller d’Etat
                                               Le directeur Général des Cultes
                                                          Flourens
            Le Préfet répond qu’il a déjà signalé le curé de Vic d’Oust, qui comme un certain nombre d’autres, faisait campagne contre les livres de MM. Compayré et Paul Bert et plus particulièrement l’Abbé Itté, qui se distingue par la violence de ses expressions en chaire.
Il demande  que son [3]‘’traitement’’ soit supprimé pendant 3 mois : (…) Cette mesure atteindrait d’autant plus M. Itté, qu’il est cupide et besogneux comme d’ailleurs la plupart des ses collègues de l’Ariège. (…).



            La mesure est prise et voilà notre curé sans salaire, il écrit au Préfet pour en connaitre la raison, faisant remarquer que les autres prêtres ont reçut le leur, Il y a, dans le dossier 5V13 (ADA) huit lettres comme celle-ci :
                                                                                  3Vic d’Oust le 10 avril 1883
                                   Monsieur le préfet
Mes confrères du canton, ont déjà reçu le mandat de leur traitement trimestriel.
Fort de votre bienveillante bonté, Monsieur le préfet, ayez l’extrême obligeance de me faire adresser le mien que je n’ai pas encore reçu.
Je suis avec un profond respect, Monsieur le Préfet votre serviteur.
                       Itté curé de Vic, canton d’Oust.
           
           
Ceci va durer 15 mois, son traitement est suspendu tant que l’évêque ne l’aura pas déplacé, dans une autre paroisse, loin de Vic et de Rogalle, le Conseil de Fabrique lui confisque  les clés du tronc et voilà notre curé sans aucun revenu !
L’évêque de Pamiers, Mgr Rougerie, un ecclésiastique passionné de météorologie, fait la sourde oreille aux injonctions du préfet et laisse le bon curé Itté se démener comme un beau diable, afin que ses paroissiens ne fréquentent pas l’école du village.
Le curé résiste à de nombreuses charges de l’instituteur Mr Loubet et du Maire Jean Joseph Broué. Des lettres à destination de l’Inspecteur d’Académie, du Préfet, sont pleines d’une laïcité agressive. Il avait aussi ses supporters et le Conseiller Général, Gally Gasparrou, lui même, après avoir été contacté par le curé, va le soutenir !
Forcément, la ‘’guerre scolaire’’ est politique, à la suite de centaines de procès dans tout le pays pendant le Concordat[4].
            Voici une lettre de l’instituteur à l’inspecteur d’Académie :

[5]Vic le X bre 1883.
 Monsieur l’inspecteur,
 J’ai l’honneur de vous exposer la situation que M. le curé de Vic fait à mon école à propos du catéchisme et des manuels Compayré.
            M. le curé de Vic a sont traitement supprimé depuis plus de 6 mois et d’après une lettre de M. le préfet, lettre qui lui a été signifiée par l’intermédiaire du Maire, cette
suppression durera tant que M. le curé s’obstinera à refuser son changement ; or, de quitter Vic, M. le curé ne veut pas en entendre parler ;et comme il n’est pas payé, il ne ménage plus rien croyant n’avoir plus rien à perdre ; ainsi, il fait le catéchisme à sa volonté, tantôt le lundi, tantôt le mardi, tantôt le samedi, mais jamais le dimanche, rarement le jeudi et toujours à 8h et demie ou 9h, de telle sorte que les enfants ne peuvent venir en classe, ni avant ni après ; du reste, des enfants qui doivent faire la 1ere communion, 4 seulement continuent de venir en classe, les autres au nombre de 8 filles et garçons ne viennent plus, les uns depuis huit jours, les autres depuis quinze, et voici pourquoi :  M. le curé a juré que tous les enfants qui liraient Compayré seraient exclus impitoyablement de la 1ere communion. Peu de temps après mon arrivée à Vic, les pères de famille vinrent me trouver pour me donner connaissance de l’alternative dans laquelle les plaçait M. le curé et pour me demander si je ne pourrai pas exclure ce livre de l’école jusqu’après la 1ére communion ; je répondit que les ouvrages en question, appartenant à la bibliothèque scolaire, je devais les mettre à la disposition des enfants de la commune ; que du reste ces mêmes livres, lus dans toutes les écoles, notamment à Soueix et à Oust nos plus proches voisines n’ont pas empêcher les enfants de ces deux dernières localités à faire la 1ére communion, il y a à peine un mois. Pour ne pas envenimer les choses, je m’étais contenté de faire lire ce livre une fois par semaine, et encore choisissais-je les chapitres ayant trait à la morale, au respect des parents, etc.…; mais le curé veut en avoir le dernier mot, il est revenu à la charge.
            Vous voyez de là, Monsieur l’Inspecteur, l’embarras des parents ; d’un côté ils ne voudraient pas priver leurs enfants de l’école, d’un autre côté ils ne veulent pas les priver de 1ere communion ; et comme M. le curé a promis que cette 1ere communion se ferait pour la Noël, les parents, pour 15 jours retiennent les enfants chez eux ; mais M. le curé tiendra t’il  sa promesse ? Il est permis d’en douter, et alors ce ne serait pas pendant 15 jours, mai pendant 6 mois, un an peut-être que ces enfants manqueraient la classe.
            Je crois, Monsieur l’Inspecteur, qu’il serait du devoir de l’autorité supérieure, de faire cesser cet état de chose.
            Je suis, avec le plus profond respect,
            Monsieur l’inspecteur,
            Votre très humble et très obéissant serviteur, L. Loubet
           
Ce n’est pas terminé, le Maire de Vic écrit au Préfet, il va y avoir des élections municipales  et on dirait que le curé prépare un coup en faisant sa propre liste, il s’agit des premières élections municipales, les maires étant nommés par les préfets, seul le conseil était élu au suffrage

Vic d’Oust 5 décembre 1883
 Monsieur le préfet de L’Ariège à Foix        

            J’ai l’honneur de vous retourner le bulletin concernant M ; l’abbé Itté, en vous faisant connaitre que je m’oppose au payement de sont trimestre. Je viens par la présente vous faire connaitre les conséquences qui résultent de l’interdiction faite aux enfants qu’il prétend préparer pour la 1ere communion, de lire les manuels Compayré. Les voici : Déjà par quatre fois l’instituteur s’est vu dans l’obligation de renvoyer des élèves qui refusaient de lire les manuels précités. Les enfants renvoyés ne se sont pas représentés. D’autres enfin ne paraissent pas à l’école, retenus par les parents. Il s’en suit que l’instituteur se trouve dans un cruel embarras, et que le maire et la commission scolaire ne savent quelles mesures prendre, car il ne faut pas si tromper, l’abbé Itté promet aux parents de faire la première Communion aux enfants, alors qu’à mon avis, il n’en a nullement l’intention. Il n’agit ainsi que dans un but électoral, car il ne s’est pas caché pour dire qu’il voulait faire élire un conseil municipal de sa composition. Il se dit qu‘en faisant renvoyer les enfants de l’école ou en leur faisant manquer, il mettra la commission scolaire dans l ‘obligation de sévir et par contre de mettre les trois quart de la population contre elle. En outre de cela, il fait le catéchisme aux heures de classe et cela deux ou trois fois par semaine. Vous trouverez donc bien naturel, Monsieur le Préfet, que, vu sa conduite je m’oppose absolument au payement de ses traitements. D’un côté, je vous, je vous serai bien reconnaissant si vous daigniez m’indiquer un moyen de parer à la situation, et d’éviter ainsi, qu’aux élections prochaines, l’administration de la commune ne tombe entre les mains des agents de l’abbé Ité.
            Veuillez agréer, Monsieur le Préfet, l’hommage de mon profond respect,
Le Maire de Vic,
Broué. »

            Maintenant c’est le commissaire spécial de police qui fait un rapport, apparemment il surveille le curé sur ordre du Préfet.
                                                                                                         Oust le 2 février 1884


                                               Monsieur le préfet,

            J’ai le regret de vous informer que la petite commune de Rogalle généralement très paisible se trouve depuis quelques temps totalement bouleversée par suite des agissements de Monsieur Itté, curé de Vic, qui dessert cette localité depuis (bien ?) 6 mois.
            Monsieur le Maire de Rogalle et son adjoint que j’ai vus dernièrement, se plaignent beaucoup de ce fougueux ecclésiastique qui leur fait sans relâche et au profit de la réaction, une très vive opposition.
            Les premières attaques de M. Itté ont été dirigées contre les membres de la fabrique vis à vis desquels il se montre très violent, parfois même insolent. Il exige impérativement que le président et le trésorier de cette fabrique lui livrent les clefs du tronc dans lequel sont contenues les offrandes et les autres ressources de l’Eglise ; sur le refus bien légitime des fabriciens[6] de se prêter a ses désirs, le curé se répand en diatribes contre eux, leurs disant en chaire qu’il est maitre absolu dans leur église, qu’il gouvernera malgré eux et qu’on ne le connait pas encore etc.…
            Son plus grand désir, Monsieur le préfet, est, cela est évident, d’assouvir le triomphe des réactionnaires ou plutôt des ses amis de cette commune, aussi ses principaux efforts sont dirigés, très adroitement d’ailleurs contre le maire, qui est, je le crois du moins, un républicain sincère. Ce prêtre se flatte, m’a-t-on assuré, d’obtenir à Rogalle le même succès qu’à Vic où il a réussit à ameuter la population contre le Maire de cette commune.
            J’ai cru, Monsieur le Préfet, devoir vous prévenir de cet état de choses et vous signaler les agissements de cet ecclésiastique qui est sur le point d’aliéner deux communes à la République.
            Ce même M. Itté s’est constamment signalé par ses critiques et ses injures dirigées contre le gouvernement et principalement contre le corps enseignant et les livres d’instruction morale et civique de M.M. Compayré et Paul Bert. Il se fait une gloire de cette conduite.
            Agréez, Monsieur le Préfet, l’assurance des sentiments profondément respectueux de votre humble et dévoué serviteur
                                               Le Commissaire spécial de police  (signature J. B. Fabre ?)

            Voilà qu’à Rogalle, les responsables de la fabrique, lui on fait le coup des clefs du tronc… Tout le monde résiste, le curé et les républicains, rien n’y fait, le curé continue avec, force et conviction car le maire de Vic d’Oust, le 17 mars 1884 écrit au Préfet :

(…)Loin de modérer son langage et ses actes, notre curé continue de plus belle à cabaler contre la République(…) En effet M. le curé de Vic s’est formé en vue des élections futures, un conseil à lui(…) C’est grâce à lui que la population de notre petite commune, unie de tous les temps, est aujourd’hui divisée en deux camps animés de haine l’un contre l’autre (…) j’apprends que certaines personnes influentes auprès de vous ont promis à notre desservant de lui faire rendre le traitement sans être déplacé(…)N’est t’il pas facile de comprendre que le traitement rendu au curé de Vic, c’est le triomphe des cléricaux, c’est l’anéantissement de la liste républicaine aux élections(…)

            Effectivement le curé va avoir le soutien de Mr Gally Gasparrou, qui dans une longue lettre adressée au Préfet le 17 juillet 1884,fait l’éloge du curé, du nouveau Maire Léo Espaignac, le premier à être élu au suffrage des électeurs. C’est donc la liste du curé qui est aux responsabilités.
            Le préfet demande que le traitement lui soit rendu avec la somme correspondant aux quatre derniers trimestres, car la leçon reçue par le curé à été salvatrice et maintenant sa situation est devenue précaire.
            Le ministère accorde par lettre du 18 octobre 1884 que le traitement de l’abbé lui soit de nouveau versé, mais seulement à partir de 1er janvier 1884 ce qui fait trois trimestres et un mois. Il précise que ce desservant ne doit pas ignorer qu’il est redevable au Préfet et que se dernier doit prévenir l’Evêque.
            Un brouillon du Préfet pour le Sous-Préfet le 21 octobre 1884:

        Le Préfet de l’Ariège

A M. Le Sous-Préfet de Saint Girons

            Le 9 octobre courant, j’ai transmis avec avis favorable le rapport que vous m’avez adressé, sur M. l’abbé Itté, desservant de Vic d’Oust à l’effet de faire revenir M. le Ministre, sur la décision du 13 octobre de l’année dernière portant suppression de traitement de cet ecclésiastique recevait de l’Etat.
M. le Ministre m’informe que d’après mon avis il a consenti à rétablir le traitement de ce desservant à partir du 1er janvier 1884.
            Je vous prie de vouloir bien lui en donner avis, en lui faisant connaitre que ce n’est que sur les instances que M. le Ministre a consenti à revenir sur sa décision et à faire exceptionnellement (…Illisible) l’effet de sa mesure de bienveillance à la date ci-dessus indiquée.
            Et un autre pour l’évêque :
           Le Préfet de l’Ariège
                                               A  Monseigneur l’Evêque de Pamiers

            J’ai l’honneur de vous informer que par décision du 18 octobre courant, rendue sur ma demande, M. le Ministre de la Justice et des Cultes, a rétabli a partir de 1er janvier 1884, le traitement de M. l’abbé Itté desservant de Vic-d ‘Oust, qui avait été supprimé par décision du 18 octobre de l’année dernière,
                                                          Veuillez agréer etc.…

            Ainsi ce termine la ‘’Guerre Scolaire’’ à Vic d’Oust, celle-ci a eu lieu dans beaucoup de paroisses et dans toute la France. Un article de Mme Sylvie Sentenac : [7]‘’Instituteurs et République en Ariège (1870-1914)’’ Explique très bien qu’il c’est passé la même chose dans la haute Ariège.
 Il est fort probable qu’il y ait eu des problèmes de même nature dans d’autres communes de la vallée, peut-être moins exacerbés ?
            Patrick Audebert






           
                      

                                  
Zone de texte:




[1] Basdevant-Gaudemet Brigitte. École publique, école privée. L'épiscopat devant le Conseil d'État en 1883. In: Revue d'histoire       
de l'Église de France. Tome 74. N°193, 1988. pp. 245-259. Pour les lecteurs qui veulent en savoir plus, ce document est en ligne sur le site Persée

[3] Salaire, à cette époque les ecclésiastiques, étaient rémunérés par l’état !
[4] lire à ce sujet : Les prêtres les fidèles et l’état ‘’le ménage à trois du XIXe siècle’’ Jacques Lafon éditions Beauchesne
[5] Archives Départementales Ariège 5V13
[6] Nom des membres de la fabrique
[7] Revue de l’Association des Amis des Archives de l’Ariège Année 2011 Pages 135 à  160 ( Sylvie Sentenac  Professeur de écoles)

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire